Fête de la joie, fête de l’enfance, voici Noël de la première à la dernière lettre de l’alphabet.
A comme Âne, celui qui, avec le bœuf, réchauffe l’enfantB comme Bethléem, la ville de NoëlC comme CrècheD comme « Douce Nuit », la chanson de NoëlE comme Emmanuel, Dieu avec nousF comme Frayeur : celle des bergers à la vue des anges qui leur annoncent la naissance du SauveurG comme « Gloire à Dieu », entonné par les angesH comme Hérode, qui voulut faire périr l’enfantI comme Incarnation, le mystère de Dieu fait hommeJ comme Joseph, le père adoptif de JésusK comme Khalife : nul ne sait si les mages étaient khalifes ou rois, mais on dit qu’ils venaient d’orientL comme Langes, le premier vêtement de JésusM comme Marie, qui devint la mère de Dieu en cette belle nuitN comme Noël ou NativitéO comme Or, le cadeau des mages, avec l’encens et la myrrheP comme Premier-né : « Elle mit au monde son fils premier-né », note l’évangéliste Luc (2, 7)Q comme Quirinus, gouverneur de Syrie, au moment du recensement ordonné par César Auguste (Luc 2, 2)R comme Roi des juifs : « Où est le roi des juifs qui vient de naître ? » demandent les mages à Jérusalem (Matthieu 2, 2)S comme Sapin, le roi de la fête en nos paysT comme Tente : « Il est venu habiter parmi nous » (Jean 1, 14) signifie littéralement, en grec : il est venu planter sa tente chez nousU comme Unique : la naissance du Christ est un événement unique dans l’histoire de l’humanitéV comme Verbe qui s’est fait chair, ainsi que le raconte JeanX comme la forme des étoiles qui brillent dans le cielY comme Yeux, les yeux de Marie qui découvre le Messie : l’émerveillement d’une jeune maman qui découvre son enfant et la joie d’une croyante qui découvre l’EmmanuelZ comme Zénith. En effet comme le dit saint Jean 1,14 : « Le Verbe s’est fait chair et il a demeuré parmi nous. Et nous avons vu sa gloire, celle qu’il tient du Père comme fils unique ».
Ainsi Noël, c’est la manifestation de la gloire de Dieu en son apogée.
À tous petits et grands, JOYEUX NOËL !
