Oecuménisme

Du vendredi 18 au vendredi 25 janvier 2019 « Justice et paix s’embrassent : chemin d’unité » Les chrétiens d’Indonésie, inquiets par les situations de corruption qui gangrènent leur pays, nous invitent à prier pour l’unité avec un thème issu du livre du Deutéronome : « Tu rechercheras la (...)

Le mouvement de Pentecôte, né au début du XXe siècle aux États-Unis, est aujourd’hui l’un des principaux courants chrétiens au monde.

Alors que cette année, les calendriers des chrétiens d’Orient et d’Occident coïncidaient, catholiques, protestants et orthodoxes se sont rassemblés dimanche à Nantes pour fêter Pâques ensemble.

Dans l’Église luthérienne comme dans l’Église catholique, la compréhension de Luther a beaucoup évolué depuis cinq siècles. Aujourd’hui, il est perçu non seulement comme un réformateur audacieux mais aussi comme un guide spirituel.

Dans plusieurs pays, les célébrations du 500e anniversaire de la Réforme protestante se sont ouvertes lundi et dureront toute une année. En Allemagne, l’événement est à la fois culturel, politique et religieux. L’Église protestante souhaite s’adresser à un large public et a aussi choisi de donner une large place à l’œcuménisme.

Après la célébration de la Pentecôte hier, les deux cents primats et évêques entament aujourd’hui leurs travaux à huis clos à l’académie orthodoxe de Crète Seules dix Églises autocéphales sur quatorze se sont finalement rendus à l’invitation du patriarche œcuménique de Constantinople.

Le saint-synode de la plus importante Église orthodoxe a appuyé hier la demande des Églises bulgare, serbe, géorgienne et antiochienne de reporter le « saint et grand concile » qui doit se tenir en Crête du 19 au 26 juin. La portée de l’événement, attendu depuis plus de cinquante ans, risque d’être singulièrement réduite avec l’absence annoncée de près du tiers des Églises.

Benoît XVI a ouvert une ère de confiance. En vingt ans, les relations entre l’Église orthodoxe russe et l’Église catholique ont opéré un virage à 180 degrés. Pape polonais œuvrant à la renaissance de diocèses catholiques en Russie, le « prosélyte » Jean-Paul II n’inspirait que méfiance à Moscou. Féru de théologie patristique et arborant un profil plus classique, Benoît XVI a ouvert une ère de confiance marquée par la reprise du dialogue théologique et la venue à Paris, en 2007, du patriarche Alexis, le prédécesseur de Kirill. C’était alors la première fois qu’un patriarche orthodoxe russe se rendait dans un pays de tradition catholique depuis le schisme entre Orient et Occident (1054). La rencontre avec Benoît XVI n’a toutefois pas eu lieu.

  • De sources concordantes, le pape François pourrait rencontrer Kirill, le patriarche de l’Église orthodoxe russe, à la fin de son prochain voyage au Mexique.
  • Outre sa portée hautement symbolique, la rencontre entre les responsables des deux plus grandes Églises de la chrétienté correspond à une série d’intérêts croisés.

1er jour : Viens rouler la pierre Lectures bibliques Ézéchiel 37,12-14 Je vais ouvrir vos tombeaux. Psaume 71 (70),18b-23 Ô Dieu, tu as fait de si grandes choses ! Romains 8,15-21 Ayant part à ses souffrances, nous aurons part aussi à sa gloire. Matthieu 28,1-10 Il n’est (...)

Thème de la semaine pour l’Unité Chrétienne 2016 « Appelés à proclamer les hauts faits de Dieu » (1 Pierre 2, 9-10) Texte biblique de référence : 1 Pierre 2, 9-10 Marqués par l’histoire douloureuse de leur pays mais également par une vie œcuménique féconde, les chrétiens de Lettonie nous (...)

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